l'enfant-mutant ou coupable de vivre

11/10/2013 03:18

 

Il était une fois un enfant, …...... un enfant qui le soir venue, aimait se perdre dans des histoires de super héros, de nouveau mutant. Ce petit garçon frêle, et souriant. Aimait à s'imaginer héros invincible comme ces images d ' Épinal, se mouvant dans ces revues américaine au papier glacé. Il avait en lui un terrible secret :......................au fond de son cœur coulait une rivière de larmes, il se sentait seul. Mais surtout étranger à ce monde apathique........en ce monde, il était tel un oiseau en cage recherchant la liberté.

Malheureusement comme chaque enfants de son age. Abreuvé d' histoire, de leçons, de règles et de sermons, de ces adultes ( que je nommerais ici sentinelle ) gardien d'un monde aseptisé et manufacturé. Ce petit homme laissa s'envoler dans un éther infini ses rêves d'enfant.

Les sentinelles le modeler à coup de non dit, de mensonges.On lui expliqua qu'un garçon ne pleurait pas, qu'un garçon était tel un grand chêne droit et fier, et que ses racines devais être solidement encré dans le sol nourricier de sa patrie et dans le sang de sa famille.

Le soir venue, fatigué de se briser les ailes dans cet espace confiné. Il s'endormait dans un monde de liberté et de charité.

Tic-tac, Tic-tac l'enfant écoute la chorégraphie frigide et mathématique du temps qui passe sous les lumières stroboscopiques et binaire de ce rythme invariable.

Les années ce jouaient de ces moments de liberté, fourbe et destructrices. elles avaient dévoré son âme d'enfant et cette insouciance qui brûlai en son sein, tel les langoliers sortie tout droit des pages de ce nouveau maître du rêve.

L'enfant n'était plus, il était mort étendue là, à jamais, aux yeux de ce monde amorphe et individualiste. Tel un mort vivant , il avançait maintenant dans la vie. Esclave morale d'une vie sans rêves, il se modeler au normes usiné sous les yeux du Big brother et de sa famille.

Héros il n'était point, mais dans son dos était gravé zéro. Zéro, ce mot au divers origines étymologique n'était que la définition du sifr, mais il était surtout son pendant gémelique de cet enfant lépidoptère mort en chrysalide un matin pour devenir cet adulte cloné.

Il rêvait à être un (X-men ) homme mutant, mais il était devenue son pire ennemie. La chenille s’était transformé en sentinelle, en gardien d'un monde qui n'était pas le sien.

Ça vie aurais put être ainsi solitude, amnésie, mensonge ….......mais au fond de lui une germe avait germé malgré l'hiver sibérien dans lequel la matrice l’avait placé.

Mais peut on demander à un bourgeon de rose de se transformer en ronce, non quoique l'on pense la nature à des raisons et des forces que l'homme ne peut contrôler.............et en son sein cette germes, ce bourgeon était celui de sa liberté , celui de son changement , il était celui dont la rose éclore.

Sa vie prenait un nouveau virage, il devait ce battre, il devait vivre pour guérir les âmes endormis de ses contemporains, pour faire naître de ses rêves enfouis, une vie forte de liberté.

Son combat fut rude , sans replis, chaque victoires était suivis de nombreuse attaque en tout genre....... au fond de son cœur, il savait que pour gagner son combat. Il méritai cette souffrance . Car qui ne perd pas de combat ne peu savoir ce qu'est la victoire, tel était son leitmotiv.

Combien de larmes le soir venue ses yeux déversaient en cette terre aride.

Peu importe si il n'était pas ce chêne droit et robuste, il préférai se sentir tel un roseau dansant au grès des bises et du vent.....enfin il se sentait libre et heureux.

De son sang versé, on raconta plus tard que Gaïa avait fait jaillir de son sein, trois enfant lumière nommé victoire, révolte et couronné.

Le nouveau monde allait naître de la révolte empathique couronnant des mains de son frère la victoire de l'amour. En ce nouveau monde loin de ses semblables manufacturé, il trouva enfin la liberté, Laissant sur tapis de poussière ses fers vampirique de cette terre patrie, et ses chaînes psychotrope nourris du sang généalogique.

Libre et heureux il parti à la découverte de ce monde naissant aider ces frères et sœurs, il était devenu un citoyen du monde...................

…............................................................................je pourrais laisser ainsi ce finir cette fable mais à chaque histoire qui commence par il était une fois ...nous trouvons une fin scoubidou ou le bien l'emporte toujours. Sauf que ce soir cette bafouille ne ce fini pas ainsi. Je vais vous en donner la fin. Cette fin........ qui laissa errant en ce monde l'enfant-mutant, devenir non pas un homme libre et heureux mais au contraire un homme prisonnier et coupable. Car il n'y a en ce monde aucune victoire. Ce qu'il pensait être victoire devint sa mort lente, car ce monde apathique et cette patrie qu'il pensé avoir vaincu..........l'avait empoisonné de ce rêve qu'il faisait le soir venue enfant entouré de l'amour de ces parents, il ne deviendrait pas ce super héros qui les sauverais. Non il serait le mutant Leech porteur d'une mutation génétique qui empoisonnera peut être un jour venu ces descendants.........sa liberté n'auras jamais la saveur voulue mais pour cet enfant-mutant elle aura le goût de la culpabilité.

 

Vous qui lisez ces lignes, ouvrez les yeux sur ce monde, sur ces hommes et femmes qui vous entourent, car pour vous ils se sont battu contre des moulins à vent, tel des Don Quichotte. Mais de leurs combats, brûlent en eux des cicatrices qui les rongera à jamais. Ne les laisser point, tendez leur vos bras, ouvrez leurs vos cœurs, car coupable même affaibli il seront à jamais le roc sur lequel vous pourrez vous appuyez et pleurer.

 

M.G