le texte-amant
Sur les toits de la citée dortoir, marchent les chats d'un pas de velours aux rythmes de la nuit tombante. Les cheminées crachent harmonieusement les volutes de fumées boisée. Le vent glacé s'engouffre chantant dans les branches mortes du cerisier endormi. Tourbillonnant au dessus de nous commence le ballet de ces étoiles éphémère, flocons ouaté, léger comme le rire de cet enfant qui jadis éclaira l'univers de sa pureté éternelle.
Là, derrière cette fenêtre éclairé de la flamme d'un bougeoir au passé romanesque. Assis devant l’âtre rougie de ces premières cendres . Un homme écoute sur son gramophone les notes envoûtante de cette opéra enchanté de Mozart. Le son s'essouffle doucement dans ce temps suspendu. Sa main griffonne des feuilles blanches vierge de tout mots et de vie. Alors que de la pointe de son arme , le sang du verbe et du sujet imprègne chaque pore de cette forme tridimensionnelle vivante de par sa mort.
Le froid blanchi son horizon, nuit noir au reflet de ce monde pure, renaissant à la vie. Il laisse son cœur parler pour la première fois.
Le temps s'écoule comme l'eau de cette rivière, dans laquelle jadis, il aimait se plonger l’été venue. Miracle de la vie, le temps n'a plus de mesure, à la fois loin de son futur et proche de son passé. Il se rappelle de ce qu'il pourrait nommé la mertitude des choses …..........mertitude :quel drôle de mots, celui-ci, il le doit à un film vu jadis dans une salle noir prisonnier d'image d'une vie.
Mertitude, tel était le sens de sa vie, lui qui en ces heures profiter de ce moment de solitude pour écrire à la mort ce texte amant.
….........Le bras du gramophone se bloque sur une note, …....un silence, puis revient en arrière de quelques secondes dans une envolé lyrique.alors que sur le papier se dessine à jamais les dernières flammes de sa vie.
Oui son temps est précieux, il le sait. Là assis, seul comme il le fut durant toute sa vie. Il souhaite écrire ce texte, un texte amant , amant comme cette relation bicéphale qui l'unie à la vie et à la mort.
Lui cet homme droit, que ces pères aimaient à juger. Il n'avait eu qu'en cette vie, piété et empathie comme ligne Maginot . Oh non, mes amis, il n'était pas un saint juste peut-être le dernier descendant d'une humanité libre et heureuse.
Laissez moi vous rapporter sa vie et ces derniers mots écrit, en ces heures sombres le temps d'une seconde immortelle.
Je ne suis que son âme vagabonde errante dans ces dérives matricielles d'une société devenue informelle et virtuelle .
Mon enveloppe charnelle était né un jour d'hiver, fruit d'un amour, il avait su se nourrir de la sève de l'arbre de l'amour et de la justice. Ces parents lui donnèrent le prénom de Hanz.
Fils unique ça vie fut un conte de Charles Perrault. Sa souffrance n’était pas son foyer mais la société dans laquelle il grandissait. Mais laissons les mots de sa vie ce mettre tel des marionnettes en mouvements.
Écoutez ce texte amant, ce chant de la vie.
« Mes enfants,
le temps s’effiloche comme le fil d’Ariane usé de l'acidité de ces larmes. Je prend aujourd'hui la plume pour faire surgir en ce lieu les méandres de ma vie . La vie n'est pas une ligne droite tracé par le doigts du non-arbitre, elle est un labyrinthe s'ouvrant à chaque virages et croisements sur des mondes inconnue. Le feu de ma vie s'étouffe. Je ne suis qu'un homme encore sain de corps et d'esprit .
Il est temps pour moi de vous parler de ce monde où voyageur intemporel, je me suis enrichi des richesses des sages, et de leurs paroles. Je me suis révolté et battu chaque jours pour faire de ce monde, un monde d'amour. Je voulais vous laisser en vos mains le noble sens de la vie, et une terre de partage. Hélas mon combat fut la perte de ce temps si précieux que la vie nous offres à marcher dans vos pas. J'ai voulue être votre guide, je suis devenu avec le temps votre pèlerin .
En ces mots je voudrais vous narrer une histoire d'amour, histoire où le héros est un enfant embrassé à l'aube de sa naissance par l'amour et la mort. Paradis et enfer était sa maison, le purgatoire son jardin .
Cet enfant grandis à une époque ou tablette numérique, écran plasma, recherche génétique n’était que des mots noircie dans des textes de fiction comme dans les romans de cet auteur reconnut en ces temps lointain, qu'était Jimmy Guieu. Je sent ce sourire si chaud inonder votre visage, car au fond de vous une question se pose qui est cet auteur ?
Cet auteur est votre Bernard Werber, votre Dan Brown ou bien encore l'Eiichiro Oda de votre enfance passé. Il était un guide pour nombreux de nos frères,de par ces œuvres nos âmes voyagé dans des mondes parallèle ou futuriste. Mais il nous offrais une visions à la fois pessimiste ou optimiste de notre avenir, en laissant en nos mains d'enfants les outils pour guérir ce monde dans lequel l'on vivait.
Il n'était plus de votre monde depuis bien longtemps !!! mais l'avait-il était un jour ?
De ses souvenirs d'enfance, il se rappelai à cette vie d'amour où enfant il vivait dans ce palais au courant d'air. Vous qui pleurez de n'avoir pu acheter ce denier transplant GPS, de n'avoir le temps d'une secondes loupé le dernier coupé YX51 de chez BMW. Vous ne pourrez jamais comprendre cet enfant qui riait à la vie chaque matin. Alors que l'eau glacé coulé de ces vieux tuyaux de plomb, le plancher sur lequel ses pieds courrez était rongé par des termites jurassique. L'hiver venue ces fenêtres devenaient un monde imaginaire et théâtral où stalactites et stalagmites se jouaient des vapeurs de ses rêves. Ce temps était celui de l'amour, de l'amour avec un grand A. Rien ne pouvais lui faire croire en cette pensée philosophique que les homme cultivé leur inculqué dans ces écoles manufacturé . Jamais il ne marcherait dans les pas de Céline et Sartre. Il se plongea corps et âme dans le veines de Gandhi et du Dr Martin Luther King Jr.
Il décida de faire de sa vie un combat pacifique, pour l'amour, quitte à sacrifier son corps pour la survie de ses idées. La mort qui était devenue sa maîtresse, avait apporter en son sang, le sang de la révolte et de la résistance.
Il étais en ce monde un marginal, un rebelle. Pour lui la vie du lendemain était No futur, aux sons de couplets violent, et d' hymnes à la rage, des bérus et autres garçons boucher. Oreille percé, jean déchiré. Il marchait seul sur les rives du Styx réchauffé de son perfecto décoré de ce bandana rouge sang. Derrière lui, les gens se retournaient crachant leur venin sur cet enfant libre de penser. Sa richesse n'était pas palpable, matériel. Non elle était spirituel et philosophique. Il était la risée de ses semblables, souffre-douleurs de ces hommes et femmes qui aujourd'hui se vante d'avoir pu partager sa vie
Il reçu des coups, des mots, on tenta à sa vie d'enfant et d'homme …..mais il ne baissa jamais les bras, tête droite, il hissé au tour de son cou les couleurs noir, blanche et grise de son keffieh, symbole de sa liberté. Ce monde n’était pas le sien, il aimai à le découvrir, il aimai à s'ouvrir à ces fruits aux cultures différentes. Il se souvenait d'un temps passé ou il n'avait été qu'un fruit acide, mais le sol de Gaïa l'avait rendu sucrée par la soif du savoir. De ces maux, il en fit sa force. Et parti à l'aventure libre de toute chaînes. Durant des lunes, des saisons il porta dans le cœur de sa famille spirituelle la douceur du miel de la compréhension et de l'empathie. ….........on écoute encore parmi le chant des oiseaux l'histoire de sa vie.
Immortel, il est la à nos cotés, à la porte de nos cœurs. Il était le lien qui uni l'amour à la mort, il est le sens du mot bonheur car il est le verbe de l'instant présent. Il est le livre vierge du roman de demain dans lequel ta main écrira les lignes de ton passé .
Cet enfant !! c'est vous mes enfants, c'est toi qui écoute mes mots, c'est moi, c'est nous.
Mes enfants, cette fable je vous l'ai narré, car elle fut un jour mienne.
Aujourd'hui mon cœur se fatigue de ce monde déchiré. Mes forces m'abandonnent, alors que les flammes consume en cette nuit froide la dernière bûche de mes espoirs.
La vie n'a de sens que si vous vous offrez corps et âmes à ces heures, car elle vous offrira alors le sens du mot bonheur.
La culture n'est pas ce que l'on vous gave depuis votre enfance, non la culture c'est ce qui vous reste quand vous avez tout oublié. Ouvrez vos fenêtres, vos portes laisser entrer en vous cette bise de douceur et d'amour apprenez à écouter le chant de la vie comme la complainte de la mort. Il n'y a point de fin en ce monde tout est début d'une autre aventure .
Ce monde c'est le votre. Pas celui des pétrodollars et autres richesses de sables mouvant . Ne laisser jamais un homme, une femme vous jugez, vous modelez à son idéale. Vous êtes l’essence de ce monde, la sève de la vie, vous n'êtes que ce que vous voulez être. Comme ce chaton se regardant dans le miroir, qui voit surgir en son image un lion immense et féroce.
Je ne suis qu'un voyageur du temps, un voyageur de l'infiniment grand et de l'infiniment petit .je vous ai guider sur un chemin, mais aujourd'hui il est temps de vous laisser libres d'avancer dans le livres de la vie. Envolez vous dans cet océan de nuages, voyagez , écoutez la douceur du vent et touchez les paroles de vos frères.
Sur cette feuille je vous laisse la clé de la vie, la clé du bonheur.
Si demain en chemin vous trouver mon corps coucher au pied du chêne de saint louis. Ne pleurez pas, car ma vie fut amour et voyage. Laissez moi partir du haut de ce sommet qui jadis veillait sur cet enfant que je fus. Je vous demandes d'ouvrir à ces hommes qui m'ont juger les portes du temple, que leur larmes sèchent alors en leur cœur de pierre. Jusqu'au moment où en leurs veines couleront les flots du pardon. Je n'ai point de haine pour ces gens qui se sont perdu a vouloirs ressembler.
Mes enfants je vous ai aimés chaque secondes que la vie m'a offerte, soyez votre propre fruit sucré vous qui êtes l'arbre de notre futur. »
haut dans le ciel, la lune veillais de son aura sur l'antre de cet âme pur qui au son d'une flûte se laissai plonger dans les bras éternelle de Morphée . Son vieux gramophone pleurer les dernière notes d'une vie assouvie. Prophète idéaliste, il regarda de cet éther inconnue cette terre s'éloigner . Il n'était pas triste car tel un candide , il avait su semer le temps d'une seconde infini le germe de l'amour.............la-haut il savait . Il savait qu'un jour parmi les ruines de ce monde fini, une femme au cœur pure pleurera une larme unique sur les cendres de sa vie . Car en son cœur se déversera les flots du pardons au noms de ces semblables...
écouter son rire et son bonheur habiter votre cœur, il était un homme , Hanz de son prénom , il était le passé de son humanité , en vous il sera le renouveau de vos vie, la clé du bonheur. N'ayez pas peur, car il est vous, voyagez sur cette terre riche de trésors infini ..apprenez à son écoute.
Ce fut des années plus tard que l'on découvris ce texte-amant ….......philosophie de sa vie !!! Il permit alors à ces âmes perdues en ce monde aseptisée de comprendre le sens du mot bonheur. Fruit de l'union de l'amour et de la mort, il est le moment présent, la sève de toute vie. Il est LIBERTÉ .
M.G