un ange et des fauves

28/09/2013 01:00

Ce soir je reprend ma plume non pas pour parler d'amour, de rêves, ou de divers sujet.....non je reprend ma plume pour écrire à un ange disparue trop tôt.

 

Fiona tu t'appelais en ce jour du mois de mai, ou le printemps fait éclore à la vie un arc en ciel de couleur.

 

Mais à la lueur de la nuit tes yeux se sont fermer sur ce monde qui ne demandait qu'a s'offrir à ta douceur et ton insouciance,

depuis cette nuit sombre, les étoiles pleurent, tout comme les cœurs de tes proches des larmes de sangs et de douleurs.

 

Tu étais un soleil, un ruisseau de fraîcheur, ton rire était léger comme cette bises printanière,

dans tes veines coulaient l'amour pour ton père, ta petite sœur, ta famille,

mais derrières ces murs, que tu imaginais tel ceux d'un château de princesse, tu étais prisonnière d'une geôle de souffrance.

 

Dans ce sommeil éternelle tu rêves de douceur et de magie, toi petite princesse au doux regard, tu nous observe du haut de ton royaume cotonneux

Ne sois pas triste, car écoute dans cette éther, l'amour qui s’élèvent de nos prière.

 

Fiona dans cette vie tu étais papillon...............de tes 5 ans, tu as fait éclore en nos cœur un crie d'amour.

 

Je ne suis personne de tes proches, juste un homme, un papa, qui souffre d'imaginer, ce que ce monstre t'as fais en cette soirée.

Comment pouvons nous, nous regarder encore dans notre miroir, nous qui nous enfermons le soir venue entre nos 4 murs, aveuglé de nos écrans plasmatique, et sourd à ce monde qui nous entoure.

 

Dans mon cœur brûle un feu de haine, car sur les joues rosé de tes cousines s'écoulent des fleuves de tristesse............j'ai la haine qu'un homme ou qu'une femme puisse prendre la vie d'un enfant, j'ai la haine envers cette femme qui se disait mère......................j'ai la haine d'être là à écrire ces mots, alors que toi t'es maux jamais tu ne les à exprimé car dans ton cœur de petite fille tu avais l'amour pour ta maman, l'amour qui fait que l'on pardonne le soir venue.

 

 

Fiona en ce jour de mai tu t’ai assoupi à jamais. Mais dans notre cœur, tu vivras pour toujours. Quand à ton sourire il sera le soleil qui réchauffera les larmes de nos maux.

 

 

Que justice soit faite !!!!

 

M.G