IL est minuit,
Il est minuit, la nuit du bûcher sonne de ces hurlements, l'appel aux forces de notre mère nature......partout autours de nous s'esclaffent les cries de ces chasseurs de monstres et de fantômes en couche culotte. Assis en cette pièce dans le cercle protecteur du pentacle aux branches mythique ….mon âme à cesser de vivre, le feu éternelle de la vie s'étouffe en ces secondes ou nos mains souillais d'un sang jadis versé ce fait hôte de nos pères disparue.
La lune berce de sa douceur son fils imaginaire, et veille en son royaume sur nos âmes déchus . Nos prière son devenu statut facebookien ou followers, vue par le monde entiers rejeté par l'univers..............nos mots s'étouffe dans cette société virtuelle.
L'homme assis, entend son dernier souffle chanter en son être les chansons d'un temps jadis, il se meurt, laissant en ce sol sacré les prémices d'un renouveau, larmes de cœur pur, sang d'amour.
Son monde s’éteint sous ses pieds, son rôle matriciel n'a plus lieux d'être …...........il en appel au grand informaticien que celui ci appuis enfin sur la touche echap, de ce clavier froid et sans vie.
La nuit enveloppe enfin ce monde, où le silence se fait roi, et les étoiles feux follet d'un paradis lointain.
Soudain alors que l'homme rêve, un frisson parcourt son corps, tel ce moment où le condamné reçoit son injection létal.......sa matrice le reprogramme pour renaître en cette aube naissante..............il refuse de devenir ce programmes gestationnel. Non il veut être open source , vivre sans ces murs judéo-chrétien et monothéique. Il veut pouvoir s'envoler loin de cette enfer freudien et Dantesque........ il sera le demain, le verbe......................son âme s’élève en un éther lointain, alors qu'a ses pieds le sang impure de ces ancêtres s’étend en des sillons imparfait en lesquels aucune symphonie angélique s’élèvera...........
il est minuit un homme pleur sur son enveloppe charnelle marqué aux fers rouge d'un nom qui jadis était symbole de lien d'amour et d'histoire. Mais qui est devenu les chaînes rouillés de solitude et individualisme.
Minuit-une, le temps de la nuit du bûcher c'est éteint en nos mémoires , les enfants jettent à leur pieds les masque difforme de leur peur passé , et se jettent d'un pas nouveau en l'attente d'une nuit de paix où l'amour renaît dans les cœurs de l'humanité le temps d'un repas gargantuesque et de cadeaux empoisonnés.
Minuit-une l'homme nouveau se lève, se parant de ce masque souriant.......................le voilà avançant seul sous les yeux de la lune, apeuré, il marche tenant en ces doigts sa parure usiné …......mais en son sein la graine de sa révolution germe. Il approche de l’abysse, cercles dantesques de son enfer, il ne sera plus un nom, un chiffre, une marionnette binaire..........il sera lui, et si pour le devenir. Il lui faut traverser le Styx, alors de sa poche il donnera les trois pièces d'or au passeur aveugle de son passé.
Il,...il va bientôt vivre mais pour cela il doit être lui.........ses pas avances marquant à jamais la courbe du temps qui passe. laissant derrière lui, sur ce sol meurtri des crimes de ses semblables, son masque. Miroir de son passé.
Chut ne faite plus de bruit, cet homme et la prés de vous. Écoutez votre cœur, laisser le vivre sa vie, son choix...............minuit deux il est heureux.
M.G